Rachel, Orvault-plaisance

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Je n’ai pas de voiture pour ne pas donner d’argent au lobby pétrolier. C’est aussi un mieux vivre ensemble, je trouve. Les cyclistes sont moins agressifs que les automobilistes et on est dehors.


Mon vélo c’est mon seul et unique moyen de transport

Quand on mélange les vélos et les piétons sur le trottoir (les piétons sont au téléphone ou avec un casque), c’est dangereux. A Strasbourg, ce n’est pas pareil : les piétons sont plus habitués aux vélos et font attention.


Je me sers de mon vélo pour tout : aller au travail, pour mes loisirs, mes courses. Mon vélo, c’est un prolongement de moi, c’est un plaisir.


Un conseil : commencer le vélo en ville en dehors des heures de pointe ! Il faut s’habituer à prévoir, anticiper. On développe comme un instinct de survie à vélo, le maître-mot : vigilance.


Il faut qu’il y ait une politique qui prenne plus en compte les cyclistes. Mon itinéraire préféré : les bords de Loire, vers Saint-Sébastien-sur-Loire.