Mes problèmes de santé s’accentuant, j’ai eu peur de ne plus pouvoir faire de vélo. Heureusement, les vélos électriques sont arrivés à un degré de maturité satisfaisant. Il y a plus de cinquante ans que je fais du vélo. La voiture familiale était utilisée avec parcimonie.

Le vélo fait partie de la solution dans un habitat de + en + dense

Mon père était un cycliste du dimanche. Il nous a initié à la mécanique et à la gestion de la distance à vélo. Après un bref épisode motorisé (merci au voleur de mobylette de m’avoir privé de cet engin bruyant et dangereux!), j’ai repris le vélo pour tous mes déplacements.

J’ai découvert le cyclotourisme à plus de trente ans (je ne savais pas qu’il existait des clubs, une fédération…), et j’ai appris et pratiqué beaucoup avec eux : brevets longues distances…

Dans le même temps, ayant conscience de la difficulté de faire du vélo en ville, dévolue à l’automobile, j’ai rejoint Cheviré Cyclable, association devenue Place au Vélo, pour essayer de contribuer à la facilitation de la circulation des vélos en ville. Le vélo rend la ville + humaine et + accessible,

Et sous la pluie ? Quand on fait du vélo depuis longtemps, on peut s’apercevoir qu’il ne pleut pas si souvent. Quant il pleut vraiment, il suffit d’inventer l’imperméable ! Je conseillerai aussi d’être bien visible.